Description
Jeanne-Marie Guyon vécut radicalement en Dieu. Elle déchaîna les foudres de la morale ecclésiastique. On la jeta en prison. On censura ses écrits Dans une langue sensible et ciselée, Caroline Boidé nous offre ici le portrait d’une femme fière et fougueuse. Un livre-miroir. C’est en miroir qu’une poète d’aujourd’hui raconte ici une mystique d’hier. Vilipendée, censurée, emprisonnée, Jeanne Guyon, au XVIIe siècle, s’attire les foudres de la Cour et de l’Église pour avoir voulu vivre radicalement en Dieu.
En privilégiant le don de soi, en affirmant sa croyance en l’égalité, en encourageant chacune et chacun à avoir une relation directe avec le divin, elle déchaîne les passions. Disgraciée, traînée dans la boue, accusée de toutes les débauches, elle sera persécutée comme hérétique et ses écrits enflammés seront interdits. Admirateur de son action spirituelle, Fénelon ira jusqu’à croiser le fer avec Bossuet à coups de publications et la défendra en vain jusque devant le pape.
Dans une langue sensible et ciselée, Caroline Boidé nous offre dans ce beau roman le portrait brûlant d’une femme fière et fougueuse qui aura eu la liberté pour seule boussole.
En privilégiant le don de soi, en affirmant sa croyance en l’égalité, en encourageant chacune et chacun à avoir une relation directe avec le divin, elle déchaîne les passions. Disgraciée, traînée dans la boue, accusée de toutes les débauches, elle sera persécutée comme hérétique et ses écrits enflammés seront interdits. Admirateur de son action spirituelle, Fénelon ira jusqu’à croiser le fer avec Bossuet à coups de publications et la défendra en vain jusque devant le pape.
Dans une langue sensible et ciselée, Caroline Boidé nous offre dans ce beau roman le portrait brûlant d’une femme fière et fougueuse qui aura eu la liberté pour seule boussole.